un rendez-vous tant attendu

Hitsugaya était seul dans son bureau à la 10ème Division, il avait envoyer Matsumoto au Roukongai pour qu’elle s’occupe des hollows qui si était introduit. Il commença à trier tout les dossier de sa division, car il avait prit du retard.

Au bout de quelque heure il tomba sur un dossier de la 4ème Divisons. Il l’ouvrir et vit que cela concerné Hinamori et pour être plus précis c’était son état de santé. Il est vrai que Hinamorie étai resté plusieurs jours dans les quartiers de la 4ème Division à cause des évènements qui s’était produit avant la trahison d’Aizen.

Hinamori…Se dit-il

Pendant son séjour là-bas, Hitsuagya avait rendu visite à Hinamorie pratiquement tout les jours pour prendre de ses nouvelles et elle n’était pas toujours bonne. C’est pour cela que le capitaine de la 10ème avait une telle haine auprès de Aizen déjà pour sa trahison, mais surtout pour tout le mal qu’il avait fait à Hinamori.

Il sera son dossier dans sa main droite et on vit quelque larme s’échapper de ses yeux, pourtant ce n’était pas son genre de pleurer même tout seul il essayer de garder au maximum c’ets émotion, mais il est vrai que Hitsuagya était très sensible à tout ce qui toucher Hinamorie, ceci était aussi sa faiblesse, mas jusque la il avait réussit à la contrôler.

J’aimerai revoir Hinamori avant que je parte pour la Terre pour amener le matériel à Kisuke. J’espère qu’elle voudra bien me voir.

Il envoya un papillon de l’enfer à Hinamori et espérait qu’elle aller venir

Dans les quartiers de la troisième division : à peut près onze heure du matin.
Une journée ensoleillée se profilait ce jour-là. Ca va changer des trois derniers jours de pluie battante. Les oiseaux avaient finit par revenir, séchant leurs plumes colorées et humides. Mais qu’il vente ou qu’il pleuve, le Seireitei reste un endroit où plane une atmosphère plus que maussade. Les Shinigamis semblaient en pause. Personne ne se baladait, se battait ou entretenait des discussions animées dans les rues. Tous le monde restait bien sagement dans ses appartements, comme s’ils en avaient reçut l’ordre. Un bruit de mort planait sur ce monde de mort. Drôle de coïncidence vous allez dire. Il faut dire aussi que le trouble de ces derniers jours forçait les nouvelles recrues à trop s’exposer. Laissons faire les plus expérimentés.
Hinamori faisait-elle parti de ces expérimentés ? Anciennement lieutenante, elle avait quand même le niveau pour se classer dans cette catégorie. A moins qu’Aizen ai fait exprès de la rendre vice-capitaine, qu’elle n’avait pas été choisit pour son niveau mais seulement pour jouer le rôle de la tour sur l’échiquier géant qu’avait été le plan de son ancien capitaine ? C’était sûrement ça, sinon pourquoi l’aurait-on « éjectée » de son ancien poste ? Tant de questions qui resteront pourtant sans réponse. L’officier de troisième rang, parce que c’est ce qu’elle est désormais dans la troisième division, poussa un long soupir. Couchée dans la longueur de son canapé, dans ses appartements, elle tentait de tuer le temps. Elle s’ennuyait à mourir, sans faire de jeu de mot. C’est alors qu’un papillon de l’enfer entra la fenêtre ouverte de ce qu’on pourrait appeler son salon. Hinamori se redressa et tandis le doigt, où se posa le papillon noir ébène. C’était un message de Tôshiro. La shinigami écarquilla ses yeux en écoutant le contenu du message. Le capitaine de la dixième division souhaitait la voir. Est-ce vrai ou est-ce une mauvaise blague ? Après l’accusation qu’avait lancée Hinamori à Tôshiro, pourquoi voulait-il lui adresser la parole ? N’a-t-il donc aucune rancune ? Bon, la shinigami ne va pas s’en plaindre, ça lui fait très plaisir que Tôshiro veuille lui parlé, mais comment la conversation va-t-elle pouvoir rester saine ? Hinamori a encore des doutes concernant son ancien capitaine, même après la cicatrice qu’il lui a si gracieusement offert avant de disparaitre. Une partie d’elle lui soufflait de le considéré comme un ennemi, l’autre s’égosillait à lui dire le contraire. Hinamori se dit que, pour commencer, elle devait faire confiance à ses amis. Même à Kira qui a pourtant joué un rôle principal dans la comédie mortuaire d’Aizen. La shinigami poussa un long soupir. L’heure n’était pas à ça. Si elle avait l’occasion pour s’excuser auprès du capitaine de la dixième division, autant la saisir. Elle se leva, s’étira tout en bâillant, puis enfila rapidement ses chaussures. Le bureau de la dixième division n’est pas très loin, à cinq minutes en shunpô. Hinamori ne s’attarda pas plus longtemps chez elle. En quelques shunpôs, elle se retrouva devant la porte du bureau de Tôshiro. C’est alors que le doute empara Hinamori. Qu’avait-il à lui dire ? Ne souhaitait-il que la voir ou avait-il un message à lui transmettre ? Elle prit une grande inspiration et frappa à la porte avant de l’ouvrir. Hinamori passa sa tête comme le ferait une gamine convoquée chez le directeur.

Hitsugaya-kun ?

Fit-elle en cherchant Tôshiro du regard. Elle l’aperçu alors, assit à son bureau. Droit et l’air fier, il n’avait pas changé pour deux sous. Pourtant, Hinamori avait l’impression de voir quelque chose de rare sur le visage du capitaine. Quelque chose qu’elle voyait très rarement, voir même jamais sur le jeune capitaine. Ses yeux brillaient, comme s’il venait de pleurer. Pourquoi aurait-il pleurer ? Soudain inquiète, Hinamori fit un pas, qui la fit rentrée complètement dans le bureau. La porte se claqua, surprenant Hinamori qui fit un pas en avant ? Un mètre ou deux la séparait du capitaine de la dixième division.

Hitusgaya était encore prit dans ses pensées quand il entendu la porte s’entrouvrir.
Il n’eu pas la temps de sécher ses larmes qu’il vit la tête de la jeune Hinamori.

Hitsugaya-kun ? Entendit-t-il tout en voyant la tête d’hinamori.

Mais malheureusement pour lui, la jeune shinigami remarqua tout de suite les yeux braillant du jeune capitaine, ce qui la fit approcher de quelque mètre de lui. Hitsugaya fit exprès de faire tomber un des dossiers par terre pour qu’il est le temps d’effacer de son visage cette expression qu’il ne voulait pas montrer à Hinamori, signe de faiblesse pour lui. Il s’était dit que Hinamori avait déjà top souffert et il ne voulait pas dévoiler sa seule faiblesse pouvant corrompre son jugement.
Après un petit instant passer a s’essuyer le visage il prit le dossier tomber par terre, le replaça là ou il était, se leva et se dira vers Hinamori.

Hinamori je suis content que tu est pu venir me voir. Il ne nous reste plus beaucoup de temps avant que l’on nous envoie sur Terre et j’espérai que l’on puisse se voir une dernière fois avant notre départ. Assied toi sil te plait j’ai une question important a te poser.

Jusqu'à maintenant il l’avait cacher au plus profond de lui, il avait même oublié avec le temps, mais en voyant Hinamori il y a repenser d’un coup. Cela faisait longtemps qu’il voulait dire a Hinamori qu’il ne lui en voulait pour ce qu’elle a fait quand Aizen la manipuler et cette fois c’était le moment de lui dire enfin.

Hinamori je dois d’abord te dire quelque chose de très important, quand tu était manipuler par Aizen tu ma accusé de l’avoir tuer et tu ma ensuite combattu pour le venger. Pour tout sa je voulait te dire que je sait que se n’était pas de ta faute et que jamais je t’en ai voulu. De nous deux tu est celle qui a le plus souffert alors je ne voit pas pourquoi je devrai tant vouloir.

Un silence macabre s’installa. Hitsugaya avait enfin dit à Hinamori ce qu’il devait lui dire. Il était enfin débarrassé d’un poids. Une seul pouvait encore le perturbé c’était la réaction d’Hinamori face à cette révélation, mais le jeune capitaine n’avait pas oublié qu’il avait appeler Hinamori pour passer du bon temps avec elle il voulait juste lui dire a qu’elle point il tenait à elle et que quoi qu’elle fasse il ne la trahira jamais.

Faire semblant de faire tomber un dossier pour s’essuyer les yeux n’échappa à Hinamori. Tôshiro n’était pas tombé sur une débutante sur ce coup-là. Mais la shinigami ne lui fit pas remarqué. Ses larmes n’étaient pas censées être dévoilées à Hinamori, donc elle va faire comme si elle n’avait rien vu, même si ça la perturbait. Tôshiro remit le dossier à sa place et se leva de sa chaise. Réflexe ou non, Hinamori recula d’un pas, comme si elle craignait quelque chose. Elle ne l’avait pas fait exprès, si bien qu’elle ne remarqua pas elle-même qu’elle venait de reculer. Tôshiro s’approcha, Hinamori tenta de rester droite. Elle n’a rien à craindre de Tôshiro, c’est son ami d’enfance, elle le connait par cœur, il la connait par cœur...Enfin, c’est ce qu’Hinamori croit et espère.

Hinamori je suis content que tu es pu venir me voir. Il ne nous reste plus beaucoup de temps avant que l’on nous envoie sur Terre et j’espérai que l’on puisse se voir une dernière fois avant notre départ. Assied toi sil te plait j’ai une question importante à te poser.

Lança Tôshiro, ce qui eut pour effet de brisé le silence. Hinamori fut d’abord surprise, et resta figée sur place. Une question ? Que lui voulait-il donc ? Docile, elle finit par s’asseoir, s’enfonçant profondément dans le canapé, lequel tournait le dos au bureau du jeune capitaine de la dixième division. Celui-ci reprit la parole, vu qu’Hinamori ne semblait pas prête à hausser la voix.

Hinamori je dois d’abord te dire quelque chose de très important, quand tu étais manipulée par Aizen tu m’as accusée de l’avoir tuer et tu m’as ensuite combattu pour le venger. Pour tout ça je voulais te dire que je sais que se n’était pas de ta faute et que jamais je t’en ai voulu. De nous deux tu es celle qui a le plus souffert alors je ne vois pas pourquoi je devrai tant vouloir.

Le plus souffert ? Ce n’est pas forcément vrai...La cinquième division entière a souffert. Perdre son capitaine, lequel étant un traitre, ça n’a rien de glorieux. La troisième et la neuvième division aussi on souffert, Hinamori n’est pas une privilégier. En baissant les yeux, ceux-ci atterrirent sur son ventre. Sur son kimono noir de jais, sous cet habit si commun qu’elle porte tout le jour, est gravée la trahison de son capitaine. Une profonde cicatrice indélébile qui restera là, sur son ventre, jusqu’à la fin des temps. Une marque peu glorieuse qui la désespère rien qu’en l’apercevant. La marque même de la trahison d’Aizen. Hinamori releva ses yeux vers Tôshiro. Le visage de la shinigami était loin d’être joyeux.

Tu ne peux imaginer à quel point je m’en veux de t’avoir accusé...Je ne sais pas ce qu’il m’a prit. La lettre paraissait si vrai, c’était troublant. Mon cœur n’a jamais livré un tel combat contre ma raison...

Dit Hinamori d’abord d’une voix légèrement assurée, puis de plus en plus triste, faible et pleine de culpabilité. Pourquoi diable a-t-elle pu croire Tôshiro responsable d’un meurtre ? Derrière son air froid et sévère, il a cœur, comme tout le monde. Et le sien est loin d’être l’un des plus petits. Les yeux d’Hinamori brillaient d’une lueur si triste qu’ils faisaient presque pitié. Jamais elle n’avait culpabilisé de la sorte.